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Le Blog de mes chroniques

Le Blog de mes chroniques
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Archives
8 juillet 2008

Inspiration travail de maturité. Réadapté.

.

J'aime,

Tu subis,

Il reste,

Nous rêvons,

Vous partez,

Ils meurent.

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8 juillet 2008

I'd like.

.

I'd like to laugh.

I'd like to love.

Still I believe in you.

4 juillet 2008

J'ai terriblement peur d'être folle.

.

.

Vacances.

4 juillet 2008

Y dime si...

A ver, lo increible que me parece.

Nos llevamos bien. =) Sonrisas.

Increible. Impensable.

1 juillet 2008

Solo...

Teneteveli stretti i vostri pezzi di ricordi.

Vi capiterà di averne bisogno una notte senza luna,
quando tutto vi sembrerà inutile
e avrete la sensazione di essere davvero su questo pianeta,
ma per fortuna in una posizione privilegiata
per guardare le stelle.

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1 juillet 2008

Incipit

Je ne sais pas par quoi commencer.
Quand je pense que ma prof de français se tue à vouloir m'apprendre à faire des incipits, elle n'a pas réussi son boulot; je fais un peu tout à l'arrache sans savoir précisément ce que ça va donner.

Croyez-vous qu'il existe une catégorie de personnes qui, dans la vie, ont le don de se foutre dans la merde?

Ma mère me manque. "Ah, il ne manquait plus que ça", me crierait Dieu.
Mes choupettes me manquent. "C'est ta faute", me lanceraient-elles.
Mon Coco me manque. "Ahah, c'est bien fait.", rirait-il.
Mon p'tit gars me manque. "T'es juste une conne", qu'il me dirait.

Voilà, en résumé. Ce qui ne va pas très bien ces jours. Ils sont tous pourtant si proches de moi. Ce sont les êtres que j'aime le plus, de manière différente certes. L'une est ma génitrice qui ne me parle plus, à part pour me faire sentir combien elle regrette d'avoir une enfant difficile à la maison. Mon unique erreur fut d'oser stupidement lui dire non. Non, non, non. Je ne suis pas un moule. Je ne suis pas en pâte à modeler. J'aimerais être de marbre.
Les autres sont mes amies. Soeurs entre elles, elles sont parfois difficiles à vivre, avec leur caractère. La première est bien loin, la tête certainement à des préoccupations bien plus universitaires que personnelles. La deuxième, je la côtoie tous les jours mais elle a un caractère bien trop... bizarre. Naturellement un peu rebelle, elle ne dit jamais le fond de sa pensée mais n'en pense pas moins.
Le troisième, l'ami, tu le connais. Il figure dans presque tous mes articles. C'est l'homme que j'aime. Ambiguïté ou pas, ces jours? Moi j'en sais franchement plus rien et j'ai pas très envie qu'on m'explique. C'est dans sa nature. Mais sa nature, je l'aime. A en mourir la bouche ouverte avec des petits moucherons autour. Haha c'est pas une très belle métaphore, mais on n'y peut rien.

Le dernier, c'est... l'homme de ma vie. Celui qui a été plus proche de moi que quiconque ne l'a jamais été, celui qui connaît ma vie, celui qui m'a mis suffisamment à l'aise pour que je lui parle de la période la plus embrumée de mon enfance, celui qui m'appelait pendant des heures pour ne rien me dire, celui qui m'a redonné goût à la vie, celui à qui j'ai aussi redonné goût à... tout. Je l'aime autant que mon Troisième, mais c'est de l'amitié. A l'état originel. Pur. Nous avons commis une erreur tous les deux, mais lui s'en veut plus que moi. Il paraitrait qu'il a quelque chose à cacher. C'est dur. J'espère que c'est faux, je n'ai jamais aimé la vérité vraie. Puisque personne ne l'a. Puisque c'est par définition une salope.

Quand on sent qu'on perd tout ce à quoi on tient, il ne faut pas oublier de tirer la dernière cordelette de l'amour que l'on a dans son coeur... Celle qui nous rattache à ceux qui restent.

25 juin 2008

Quand...

Quand tu passes la journée avec quelqu'un.
Que tu appréhendes de le retrouver et que tu as parcouru des kilomètres sous le soleil pour le voir.

Ma vision est simple. J'entends encore sa voix qui résonne au fond de ma tête. Il me parle de tout et de rien. Il me dit même que j'ai droit à un "traitement" particulier et sa franchise me laisse sur le cul. Je le sens à l'aise avec moi. Je n'ai pas l'impression désagréable qui tape au fond de mon ventre comme lorsqu'on sent le mensonge qui arrive. Je suis son amie, après tout, on invite pas les gens à rester dîner même par politesse si on ne les apprécie pas un minimum.

Je vais vous dire. Vous avez de la chance si vous vivez la situation suivante. Regardez la personne que vous aimez, mais d'amour, bien entendu, celle qui vous semble parfaite et que vous désirez tant. Regardez-la de face. Quand je le regarde dans ses yeux, j'ai la sensation rassurante d'être plongée dans un océan. Il avait les yeux noirs desquels on voit du bleu, qu'on prend pour l'océan dans lesquels on voit Dieu... Au moment où je vois sa bouche, je sais qu'elle me dit des mots sincères, il en faut de la force pour mentir et l'effort est tellement visible. Je n'ai pas besoin d'un contact physique pour me sentir bien en sa présence. Le simple fait de le voir, de le regarder et même de lui parler font briller mes yeux. Il paraît, c'est ce que dit ma meilleure amie.

Regardez maintenant cette même personne lorsqu'elle se redresse et qu'elle vous tourne le dos. Allons, de vous à moi, les amis, on n'est plus des enfants; on se parle de manière honnête et ouverte. Sa taille lui donne de l'assurance, il n'est pas tout à fait grand, ni tout à fait petit. Sa carrure me protège, elle me rassure. Ses jambes. Mon dieu, elles sont tellement belles. Mais l'envie la plus fulgurante qui me prenne, c'est celle de passer ma main dans son dos. La passer partout sur son corps en réalité. L'ami, si tu sais ce que c'est de sentir le souffle et les lèvres de quelqu'un sur ton corps, peux-tu t'imaginer cela avec la personne qui te semble idéale? Si un jour je devais vivre cela avec lui, je saurai que j'aurai atteint le paradis. Pur. A l'Infini.

Le surréalisme cherchait l'abolition des contraires pour atteindre une sorte de perfection nouvelle. Il a aboli tous les contraires du genre humain.

Le jour où, l'ami, tu ressens ça, garde cette personne. Tu l'aimes.

25 juin 2008

En fait, on s'en fout.

Le bonheur.

Ah, ce fameux mot de merde qui fait bien chier tout le monde avec des objectifs vraiment à la noix (et pas de coco s'il vous plaît) et qui apprécie fortement de rendre les gens plus désespérés et malheureux qu'ils ne le sont déjà.

Sinon, moi j'aime le bonheur. Je le trouve sympa. A part quand il me dit que pour l'atteindre, j'ai besoin d'un petit copain, d'une situation professionnelle qui me convient et d'une situation sociale équilibrée.
Vous voulez un dessin?

Genre, ca fait juste bientôt une année que j'aime le gars le plus parfait de la Terre avec ses imperfections qui ne font que le rendre encore plus charmant. Genre, le lycée, ça me gonfle bien profondément jusqu'à l'estomac et ça m'empêche de dormir de temps en temps; j'aime pas travailler, j'préfère les vacances. Ou au moins faire un boulot qui m'intéresse. Sérieusement, qu'est-ce qu'on en a à branler de la chimie? Genre, ma vie sociale est composée d'amis plus étranges les uns que les autres. Mes relations sont complexes, elles ont décidé elles aussi de ne pas m'aider. Oh non. Surtout pas.

Ben c'est la merde les gens, moi je vous le dis. Je fais quoi dans tout ça? J'envoie tout péter et j'prends le premier gars qui me passe sous les jambes, je travaille 4h en plus par jour pour le lycée, histoire que le temps passe plus vite et je largue tous mes p'tits gars pour une bande de miss-coinçées-du-cul?

... Ou pas!

Chacun a ses propres ingrédients du bonheur. Je tiens à vous signaler que ces jours je vais particulièrement bien. Et que sans les caractères types du bonheur, moi je suis heureuse.

En fait, je plains ceux qui ont la vie tranquille. Vous savez, celle que j'ai pas. Ils doivent se faire rudement chier ces pauvres gars.

16 juin 2008

Tu vas partir.

A l'époque, j'ai tout refusé, tout net, tout en bloc. Mes émotions ont été refoulées, vrac en dedans. Même le psychologue a semblé étonné quand on m'a présenté à lui. "Je n'ai jamais vu une telle force de blocage, votre fille souffre terriblement mais elle se refuse de l'admettre."

Maintenant, il en va de même. Seule, sans maman qui pouvait venir la consoler; au moment où elle était là, elle s'embrouillait elle-même dans les histoires de fous qu'elle inventait. Toujours tout reconstruire...
Ces bribes de conversations me hantent, je n'ai jamais osé l'avouer. Il y a des paroles comme celles-là ancrées au plus profond de ma mémoire qui ressurgissent ces jours. Ces jours, oui, car elle va repartir. Dans le fond, on a tous besoin de notre maman adorée, pour la pureté qu'elle représente, elle, notre conceptrice, pour les câlins, pour tout. Même à 30 ans.

Et la voir partir une deuxième fois, sans pouvoir la retenir, me déchire profondément. Oui ma petite, c'est bien fait pour toi, t'avais qu'à la suivre, dire Amen à ses belles promesses mais rappelle-toi qu'elle ne les a jamais tenues, après tout c'est un être humain. Elle me pourrit l'existence avec toute la rancoeur qu'elle a contre moi, moi, sa fille aînée dont elle n'a jamais su faire façon. Elle me fait culpabiliser. Elle me fait rager. Elle me fait pleurer mais malgré tout, c'est elle que j'aime.

Je me sens terriblement seule. Je vais faire face à la vérité d'ici peu. Erreur ou pas? Combien de temps garderai-je les yeux fermés, fermés sur les émotions bloquées que je me refuse encore d'écouter?

La solitude de la petite fille de 11 ans. Cette même solitude qu'à 17 ans. Cette solitude qui me donne froid, qui me coupe l'envie de parler.
J'ai un problème avec ma mère. Elle me pourrit la vie et je veux pas la laisser partir.
Non je crois que j'ai un problème personnel en fait.

Ca doit être ça.

16 juin 2008

Le foot.

Qui n'a jamais entendu dire:
"je ne comprends pas pourquoi 22 abrutis courent après le même ballon pendant 1h30!"

Alors la prochaine fois, dites en mon souvenir qu'il n'y a que 20 joueurs qui courent puisque 2 d'entre eux sont des gardiens qui ne décollent pas du but.

J'aime pas le foot, sauf si ca se joue au niveau international. Là, ca sait jouer. Et pardonnez-moi la petite digression mais un homme transpirant et s'investissant à fond dans ce qu'il fait sur un terrain de sport m'attire comme le miel attire les ours: j'en mangerais.
Pour moi, la vie ne vaut pas la peine d'être à demi vécue; ces hommes qui jouent comme pour sauver "leur vie", je les admire.

Je vais peut-être être traitée de nationaliste mais tous ces supporters dans les tribunes réunis sous les mêmes couleurs, j'trouve ca sympatoche. Mais oui, il vaut mieux agiter un drapeau qu'une grenade après tout.

Viva l'Italia! Forza Azzuri!

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